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The Cognitive Organisation of Human Errors: A Gestalt Theory Perspective

The Cognitive Organisation of Human Errors: A Gestalt Theory Perspective Les erreurs humaines sont étudiées dans le cadre théorique de la gestalt theory comparée aux théories de l'erreur cognitive. II est démontré que les processus ou actes de cognition erronée ne sont pas toujours les conséquences de la routine, mais plutôt la suite naturelle d'une organisation de la forme, indépendante du fait qu'une certaine ligne d'action ait été apprise ou non. Des exemples issus des champs de la perception visuelle, de la pensée et de l'action dirigées vers un but sont présentés, dans lesquels le principes de la gestalt, finalité, bon déroulement et proximité conditionnent l'apparition d'échecs. Est aussi mis en discussion le fait que les erreurs pouvaient être ou pas considérées comme évaluation positive, comme elles pourraient être l'indication de la résolution d'un problème de production et dans certaines situations, fournir de l'information sur la manière la plus facile d'approcher un but. Human errors are discussed within the theoretical framework of gestalt theory as compared with cognitive error theories. It is argued that erroneous cognitive processes or actions are not always the consequence of routinisation, but instead are a natural consequence of gestalt organisation independent of whether or not a certain line of action has been learned. Examples from the fields of visual perception, thinking, and goal‐directed action are presented, in which the gestalt principles of closure, good continuation, and proximity are conditions governing the emergence of failures. Also discussed is the issue of whether or not errors should be given positive evaluation, as they may be a cue for productive problem solving and may, in certain situations, provide information as to the smoothest path to approaching a goal. http://www.deepdyve.com/assets/images/DeepDyve-Logo-lg.png Applied Psychology Wiley

The Cognitive Organisation of Human Errors: A Gestalt Theory Perspective

Wehner, Theo; Stadler, Michael
Applied Psychology , Volume 43 (4) – Oct 1, 1994
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19 pages

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References (27)

Publisher
Wiley
Copyright
Copyright © 1994 Wiley Subscription Services, Inc., A Wiley Company
ISSN
0269-994X
eISSN
1464-0597
DOI
10.1111/j.1464-0597.1994.tb00845.x
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Abstract

Les erreurs humaines sont étudiées dans le cadre théorique de la gestalt theory comparée aux théories de l'erreur cognitive. II est démontré que les processus ou actes de cognition erronée ne sont pas toujours les conséquences de la routine, mais plutôt la suite naturelle d'une organisation de la forme, indépendante du fait qu'une certaine ligne d'action ait été apprise ou non. Des exemples issus des champs de la perception visuelle, de la pensée et de l'action dirigées vers un but sont présentés, dans lesquels le principes de la gestalt, finalité, bon déroulement et proximité conditionnent l'apparition d'échecs. Est aussi mis en discussion le fait que les erreurs pouvaient être ou pas considérées comme évaluation positive, comme elles pourraient être l'indication de la résolution d'un problème de production et dans certaines situations, fournir de l'information sur la manière la plus facile d'approcher un but. Human errors are discussed within the theoretical framework of gestalt theory as compared with cognitive error theories. It is argued that erroneous cognitive processes or actions are not always the consequence of routinisation, but instead are a natural consequence of gestalt organisation independent of whether or not a certain line of action has been learned. Examples from the fields of visual perception, thinking, and goal‐directed action are presented, in which the gestalt principles of closure, good continuation, and proximity are conditions governing the emergence of failures. Also discussed is the issue of whether or not errors should be given positive evaluation, as they may be a cue for productive problem solving and may, in certain situations, provide information as to the smoothest path to approaching a goal.

Journal

Applied Psychology – Wiley

Published: Oct 1, 1994

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