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An Ethiopian Parallel To the Arabic Expression "the Eye of the Hen"

An Ethiopian Parallel To the Arabic Expression "the Eye of the Hen" NOTES ET DOCUMENTS ADDENDA À CONCEPTIONS MOTNÉAIRES CHEZ LES JURISTES MUSULMANS (Arabica, XIV, 2, an. 1967) P. 114 - Au sujet de la transmission des id6es grecques sur l'origine de la monnaie chez les auteurs arabes, C. Cahen a signal6 (dans Oriens, t. XV, an. 1962, p. 16q) un jalon un peu plus ancien que Miskawayh: Qudäma b. Galfar, dans son Kitab al-fJarag. Ibid. - Note 4, lire Dey Islam au lieu d'Islamica. P. 120 - L'emploi du terme kayl pour une pes6c est express6ment confirm6 par le hanafite al-Šaybäni, Asl, p. 52, § 152 (voir aussi p. 46, § 129). P. 140 - En plus de l'opinion de son maitre Malik, Ibn al-Qdsim fournit son avis personnel sur la nature des fulfis; ce sont en principe, estime-t-il, de simples marchandises ('urü4), mais il y a lieu de les traiter comme monnaie (cayn) lorsqu'ils servent à des paiements de faible valeur; lvludawwana, IX, 52. P. 142 - La notion d'accroissement de la fortune comme justification de la dime aumônière (zakat) sur l'or et l'argent est également invoqu6e par un contemporain du šäfi'ite le hanafite al-Sarahsi dans son M absüj, III, 20. Ce dernier auteur se fonde sur le http://www.deepdyve.com/assets/images/DeepDyve-Logo-lg.png Arabica Brill

An Ethiopian Parallel To the Arabic Expression "the Eye of the Hen"

Arabica , Volume 15 (3): 316 – Jan 1, 1968

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Publisher
Brill
Copyright
© 1968 Koninklijke Brill NV, Leiden, The Netherlands
ISSN
0570-5398
eISSN
1570-0585
DOI
10.1163/157005868X00055
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Abstract

NOTES ET DOCUMENTS ADDENDA À CONCEPTIONS MOTNÉAIRES CHEZ LES JURISTES MUSULMANS (Arabica, XIV, 2, an. 1967) P. 114 - Au sujet de la transmission des id6es grecques sur l'origine de la monnaie chez les auteurs arabes, C. Cahen a signal6 (dans Oriens, t. XV, an. 1962, p. 16q) un jalon un peu plus ancien que Miskawayh: Qudäma b. Galfar, dans son Kitab al-fJarag. Ibid. - Note 4, lire Dey Islam au lieu d'Islamica. P. 120 - L'emploi du terme kayl pour une pes6c est express6ment confirm6 par le hanafite al-Šaybäni, Asl, p. 52, § 152 (voir aussi p. 46, § 129). P. 140 - En plus de l'opinion de son maitre Malik, Ibn al-Qdsim fournit son avis personnel sur la nature des fulfis; ce sont en principe, estime-t-il, de simples marchandises ('urü4), mais il y a lieu de les traiter comme monnaie (cayn) lorsqu'ils servent à des paiements de faible valeur; lvludawwana, IX, 52. P. 142 - La notion d'accroissement de la fortune comme justification de la dime aumônière (zakat) sur l'or et l'argent est également invoqu6e par un contemporain du šäfi'ite le hanafite al-Sarahsi dans son M absüj, III, 20. Ce dernier auteur se fonde sur le

Journal

ArabicaBrill

Published: Jan 1, 1968

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