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1 Sur les déictiques en arabe et dans la grammaire arabe traditionnelle, cf. Larcher (1995), Anghelescu (1995). 2 On trouvera l’ensemble des données et leur interprétation dans Toelle (1989). Simplement, celle-ci part des racines, ce qui, selon nous, ne permet pas de reconstituer la parcours sémantique des mots concrets. NOTES ET DOCUMENTS L’EXPRESSION DE L’AUTRE ET DE L’AILLEURS EN ARABE CLASSIQUE par PIERRE LARCHER (Université de Provence et IREMAM) Sur la question de l’“autre”, un linguiste n’a pas d’états d’âme : est “autre” ce qui n’est pas “moi”, voilà tout ! C’est que la langue est égotiste, s’organisant, ainsi que l’a montré naguère Benveniste (1966), à partir du je-ici-maintenant . En veut-on des exemples pour l’arabe (ici classique et moderne) ? En voici deux. Comparons entre eux les éléments de la série hun ˆ -hun ˆ ka-hun ˆ lika , l’analogue de nos adverbes de lieu ici, là, là-bas . Une telle comparaison montre aussitôt que le premier élé- ment est la base, tandis que le second et le troisième s’analysent en hun ˆ + ka et hun ˆ + li + ka , où li est une marque de distance et -ka le k ˆ f d’adresse.
Arabica – Brill
Published: Jan 1, 2002
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